Fermer les yeux et se recentrer quelques instants.
La première étape est d’accepter cette sensation de brouillard malgré la peur.
Limite l’imager, l’observer, le sentir, le définir, connaitre ses contours et ses limites.
Quelle est la couleur de ce brouillard ?
Quand est-il arrivé ?
Est ce que mes peurs le nourrissent ?
Quels messages peut-il me faire passer ?
Quand l’apprivoisement de ce brouillard est fait, il sera plus facile de se connecter à soi, à ses sensations, à sa lumière, à ses valeurs.
Qu’est ce que j’aime être ?
Qu’est ce qui me met en joie ?
Où avais je envie d’aller avant ?
Où sont placés mes espoirs ?
L’espoir sera un pilier important pendant ces turbulences.
Garder le cap dans le brouillard.
C’est le moment de sortir de son sac « ressources » : la confiance en la vie, l’intuition, la patience, l’ancrage, être bien accroché.e au présent et à ce que j’ai déjà.
Quand je ne vois plus rien devant, c’est difficile de savoir où aller, mais par contre je peux m’accrocher à ce que j’ai à l’intérieur de moi.
Me lier à ma boussole intérieure, à mon intuition, aux sensations de mon corps.
M’attacher à ce que j’ai déjà construit, le valoriser et continuer à le faire grandir.
M’accorder un temps de pause pour reformer ma bulle de protection et ainsi avoir la force de repartir pour la suite du parcours.